NADIA SAMMUT en cuisine au gala de L’OPERA DE PARIS

“ À l'occasion d'un hommage vibrant à l'ancien directeur de la danse de l'Opéra national de Paris, Patrick Dupond, le gala annuel s'est déroulé autour d'interprétations virtuoses de ballets classiques et d'un dîner sous les ors du foyer légendaire.

Accueillis par un noeud rose pâle gigantesque, les hôtes ont foulé les mosaïques de l'Opéra Garnier où se tenait le gala annuel, longtemps orchestré par Patrick Dupond, ancien danseur étoile et directeur de la danse de l'Opéra national de Paris, disparu en mars 2021. La soirée en son hommage s'est déployée en plusieurs actes, à commencer par le traditionnel défilé où les élèves de l'école de danse de l'institution, vêtus de tutus et tiares Chanel, se sont présentés avant le spectacle magistral. Un extrait de «Vaslaw» de John Neumeier, interprété par Eléonore Guérineau et Marc Moreau, a donné le la, puis s'en sont suivis «Le Chant du compagnon errant» de Maurice Béjart, dansé par Germain Louvet et Hugo Marchand, et «Etudes» de Harald Lander, par Valentine Colasante, Guillaume Diop et Paul Marque. La salle enthousiaste a répondu par un tonnerre d'applaudissements avant le second acte de la soirée, le dîner sous les ors du foyer, orchestré par Marine Bidaud, Nadia Sammut, Sven Chartier, Jade Génin et Tatiana Levha. Enfin, l'afterparty dans la rotonde des abonnés a réuni les convives pour qu'eux-mêmes célèbrent la danse.

José Martinez, le directeur de la danse de l'Opéra depuis octobre dernier, a pu bénéficier des soutiens de Chanel et Rolex, mécènes de longue date de l'évènement. Déjà en 1920, Gabrielle Chanel, avait financé le théâtre des Champs-Elysées et s'était lancée, en 1924, dans la confection de costumes pour «Le Train bleu» de Bronislava Nijinska. La tradition est perpétuée par Virginie Viard, actuelle directrice artistique de la maison Chanel, successeure du regretté Karl Lagerfeld. Grâce à l'Association pour le rayonnement de l'Opéra de Paris, les fonds collectés serviront aux bénéfices de l'institution, afin qu'elle ne cesse jamais de nous mettre des étoiles dans les yeux.”

Source : Les Echos

C’est la betterave de Didier Ferreint (Mallemort 13) que notre cheffe nourricière avait mis à l’honneur pour l’entrée du dîner. Un produit de terroir, de région sud, mis en scène au cœur de l’assiette, accompagné de sumac et grenade pour le sublimer.

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